La deuxième Biennale internationale de la photographie d’Ostende sera en pleine vue dans l’espace public, mais certains artistes seront aussi exposés en toute intimité dans des musées, des galeries, des églises, des bateaux ainsi que dans une forteresse dans les dunes. En voici un aperçu!
Le Fort Napoléon et Mu.ZEE constituent le point de départ de l'International Photobiennial Ostend. Le premier présentera une vaste rétrospective du célèbre photographe américain Joel-Peter Witkin, mais aussi le travail de Jenny Ymker, d'Olivier Valsecchi et du duo belge Tony Le Duc et Diane Hendrikx. Tous les cinq montrent à leur manière le lien avec d'autres formes d'art dans leur exposition de photos.
Il en va de même pour Aglaia Konrad, qui est fascinée par les effets de la mondialisation et de l'homogénéisation sur l'espace urbain (métropolitain). Pour les espaces de Mu.ZEE, outre une nouvelle série de photos, elle développe une installation spatiale à partir de l'architecture de l'espace d'exposition.
Un billet combiné donne accès à tous les lieux intérieurs de la ville. Par exemple, la maison de James Ensor, où seront exposés les travaux du jeune photographe belge Athos Burez et de l'étoile montante Marie Wynants.
Ensuite, dans l'église anglicane, Julia Fullerton-Batten expose ses photographies séduisantes et mystérieuses, et Giannina Ottiker et Karel Mus s'installent à Peperbusse.
Enfin, six galeries participent également à la biennale avec des œuvres de Joel-Peter Witkin, Bart Ramakers, Kjetil Karlsen, Lieven Lefere, Guda Koster, Rami Hara et Luc Gatwa. La galerie AHWNN ouvre ses portes au travail de cinq jeunes photographes prometteurs : Hannah Moens, Jyoti Dresselaers, Luana Masala, Nick Verhaeghe et Neoza Goffin.
L'entrée dans les galeries est bien sûr gratuite. Pour tous les autres lieux d'exposition, vous devez acheter un billet.